(je m’excuse d’avance pour cette histoire totalement débile mais après tout je ne suis qu’un gnome)
L’enfance de Jeanfaust n’a rien de très passionnante, il avait passé sa jeunesse dans la ferme que ses parents gnomes entretenaient dans les contrées glacées de Dun Morogh. Mais bizarrement, il garde un souvenir nostalgique de ces instants passés et quand quelqu’un lui demande « Mais où tu habitais quand t’étais jeune ? » Il répond « La Ferme !!! ».
Jeanfaust déteste deux choses, les hordeux et les tartes aux pommes. Pourquoi les hordeux, et bien cela remonte à sa tendre enfance. Alors qu’il s’ennuyait en faisant les taches que ses parents lui avaient confiées, le jeune gnome rencontra un humain au charisme presque irréel.
Jeanfaust était tellement impressionné qu’il avait abandonné la construction de son bonhomme de neige (faut bien passer le temps) et il resta bouche bée devant l’inconnu.
L’inconnu approcha du gnome et il commença à discuter avec lui, sa voix était douce et bien que celui ci portait deux dagues à sa ceinture, jeanfaust ne ressentait aucune hostilité émaner de l’inconnu. C’est alors qu’au loin résonnaient des cris d’agonies, cela ressemblait à un cri strident émanant d’un sanglier. Jeanfaust avait détourné son regard, juste une seconde de l’étranger et à la grande surprise du gnome, celui ci avait disparu. Même les traces laissées dans la neige n’étaient plus visibles. Jeanfaust se demanda s’il n’avait pas rêvé mais il reprit vite ses esprits en voyant arriver dans sa direction un groupe très inquiétant
Ce groupe était composé d’un humanoïde musclé et tout vert, au fasciés menaçant (non ce n’est pas hulk), une sorte de vache sur deux pattes, un autre humanoïde à la dentition surdimensionnée ainsi qu’un tas d’os ambulant (non ce n’est pas Paris Hilton ?). Ce groupe avança vers jeanfaust et sur leur route, ils piétinèrent une chose vraiment importante pour notre ami gnome : son bonhomme de neige.
Jeanfaust devint rouge de rage et il fonça sur le groupe avec l’intention de venger sa création. (Ne jamais se moquer ou casser une création de gnome) mais il fut très bien accueilli et il fit le chemin dans le sens inverse plus rapidement. Alors que l’orc allait lui porter le coup fatal, notre gnome vu les alliés de la boule de nerf verte, s’effondrer les uns après les autres. Pris de panique, l’orc commença à fuir mais il s’effondra quelques mètres plus loin et l’homme mystérieux apparu alors près du corps. Jeanfaust s’évanouissait juste après cela et il se réveilla plusieurs jours plus tard dans son lit. L’homme avait disparu mais il restera à tout jamais gravé dans son esprit.
Et pourquoi les tartes aux pommes me diriez vous ? A vrai dire je pense que tout le monde s’en fiche.
Jeanfaust était obsédé par cet homme et il décida de le prendre comme modèle, il décida de s’entraîner afin de devenir aussi puissant que son sauveur mais son entraînement en autodidacte n’était pas très efficace. C’est pourquoi, il décida de partir à l’aventure en quittant ses parents et sa vie de fermier.
A l’aide de ces petites jambes (2 pour être précis), il s’aventura dans ce monde hostile à la recherche de travail qui lui ouvrirait les portes de la richesse et de la gloire. A force de petits boulots, il commença à développer ses aptitudes de voleurs. « Qui a dit que frapper dans le dos est lâche ? Dans ce monde hostile seul la victoire est récompensée et les stratégies pour l’obtenir sont nombreuses. Jeanfaust avait choisi la sienne et si celle ci pouvait être critiquée par les « hommes à l’esprit noble », elle était diablement efficace ! »
Jeanfaust quitta les terres gelées pour se diriger en territoire humain afin de voir s’il pouvait retrouver ce mystérieux sauveur. Il fut surpris de voir autant de longues jambes et il se trouvait encore plus petits que d’habitude. Mais ce n’était pas toutes ces guiboles surdimensionnées qui allaient impressionner notre ami voleur.
Alors qu’il n’était encore qu’un aventurier débutant, il rencontra, dans une taverne située à Goldshire, un homme du nom de Fredrick qui lui parla d’une guilde nommée : Les Fils de la Liberté. Jeanfaust trouva Fredrick très sympathique. Il fut aussi impressionné par le charisme et l’expérience du voleur qui se trouvait devant lui à cet instant. Après cette petite discussion, Jeanfaust accepta de faire partie des fils de la liberté
Après cette entrevue, Jeanfaust se rendit compte qu’il était encore loin de son modèle et qu’il allait rencontrer de nombreux aventuriers talentueux sur sa route. Un petit frisson d’excitation parcouru le petit corps du gnome. Il était heureux, cette nouvelle vie était bien plus intéressant que son ancienne vie de fermier.
Après de nombreuses aventures et de nombreuses blessures, Jeanfaust avait acquis un peu d’expérience mais il était encore loin du but qu’il s’était fixé